Notre mission : protéger la biodiversité en sensibilisant et en engageant les citoyens à ce sujet.

L'apiculture, une activité en grande souffrance...

Aujourd'hui, les apiculteurs font face à un véritable fléau : le frelon asiatique entre autres. Cet insecte nuisible est un des facteur responsable d'une surmortalité de plus en plus importante chez les abeilles depuis ces 10 dernières années. Au-delà de la perte financière pour les professionnels, cet insecte est responsable d'un bouleversement dramatique de la biodiversité pour notre futur.

Savez-vous qu'un seul frelon asiatique peut manger jusqu'à quatre abeilles à l'heure ?

Notre vision : lutter collectivement contre un fléau.

Notre ambition est d'aider la communauté des abeilles en identifiant, localisant et détruisant les frelons nuisibles et leurs nids ainsi que de protéger la biodiversité en sensibilisant et engageant les citoyens à ce sujet.

Nous souhaitons alors créer la première plateforme collaborative pour localiser et chasser les frelons nuisibles. Chacun pourra alors participer à la protection de la biodiversité.

En plus de la problématique des frelons asiatiques, les apiculteurs sont impactés par le réchauffement climatique. En effet, les températures changeantes impactent la période de floraison des fleurs.

Les professionnels doivent alors modifier leurs habitudes et réapprendre à adapter la position de leurs ruchers en fonction des zones de butinages des abeilles.

L'idée avec notre application Beefree est d'aider la communauté des abeilles en identifiant les points d'intérêts pour les professionnels.

Notre outil est collaboratif et permet de créer une carte de points d’intérêts dans une temporalité précise. Elle permet notamment :

• d'identifier les zones de butinages
• d'identifier les essaims d'abeilles
• d'aider à la chasse aux nids de frelons asiatiques

L’accès à la carte collaborative permet alors aux apiculteurs d’adapter la position de leurs ruches en fonction des nouvelles périodes de floraisons et de la présence de nuisibles ou non.

Elle permet aussi aux professionnels de la désinsectisation de passer plus rapidement à l’action et de détruire des nids qu’ils n’auraient pas forcément identifié.